Critique : Indiana Jones et le Cadran de la Destinée « La Malédiction de la Redondance »
Indiana Jones et le Cadran de la Destinée n'est pas "nul" mais victime d'un mal qui le ronge comme le cancer : la redondance généralisée.
Indiana Jones et le Cadran de la Destinée n'est pas "nul" mais victime d'un mal qui le ronge comme le cancer : la redondance généralisée.
Facile de tirer sur l'ambulance "Fast X" ? Quand elle brûle, conduite par un singe aveugle sous crack, c'est normal. Il faut vite l'arrêter !
John Wick 4 ou Evil Dead Rise, peu importe le genre, les talents et les efforts, le résultat est le même : on s'ennuie comme un rat mort.
Scream 6 est un opus sans surprise. Mais c'est aussi la fin idéale à une hexalogie aussi classique dans sa forme que méta dans le fond.
Shotgun Wedding ne se vend que sur son concept et ses têtes d'affiche. Sinon, c'est un passe-temps qui ne s’embarrasse que du minimum.
On s'écharpe encore à décider si Piège de Cristal est un film de Noël ? Revoyez 58 Minutes pour Vivre à la place. Tout y est pour les fêtes.
Running Man a eu le culot d'anticiper 35 ans en avance les ravages de la téléréalité, les États policiers et le deepfake. En plus, c'est fun !
Halloween Ends boucle une trilogie entamée en 2018... Et confirme que les auteurs avaient autant de bonnes idées que de mal à les exploiter.