Critique : Wolfs « Divertissement correct, système douteux »
Avec Wolfs, Apple produit un divertissement correct qui ne sort pas des clous, mais ne vaut pas son budget inflationniste.
Avec Wolfs, Apple produit un divertissement correct qui ne sort pas des clous, mais ne vaut pas son budget inflationniste.
En 1996, L'Effaceur était une œuvre complètement schizophrène, entre dernier "vrai film de Schwarzenegger" et spot de campagne pour la star.
Facile de tirer sur l'ambulance "Fast X" ? Quand elle brûle, conduite par un singe aveugle sous crack, c'est normal. Il faut vite l'arrêter !
John Wick 4 ou Evil Dead Rise, peu importe le genre, les talents et les efforts, le résultat est le même : on s'ennuie comme un rat mort.
Shotgun Wedding ne se vend que sur son concept et ses têtes d'affiche. Sinon, c'est un passe-temps qui ne s’embarrasse que du minimum.
La chronique 100% honnête parce que mes jeux, je les paie avec mes sous. Et avec Dead Space remake, je n'ai aucun regret.
C'est en janvier, peloton d'exécution des films dont on n'attend rien, que sort Mayday avec Gérard Butler. Mais bon, il mérite d'être gracié.
On s'écharpe encore à décider si Piège de Cristal est un film de Noël ? Revoyez 58 Minutes pour Vivre à la place. Tout y est pour les fêtes.