Critique : Shotgun Wedding “Mariés à bout portant”
Shotgun Wedding ne se vend que sur son concept et ses têtes d'affiche. Sinon, c'est un passe-temps qui ne s’embarrasse que du minimum.
Shotgun Wedding ne se vend que sur son concept et ses têtes d'affiche. Sinon, c'est un passe-temps qui ne s’embarrasse que du minimum.
La chronique 100% honnête parce que mes jeux, je les paie avec mes sous. Et avec Dead Space remake, je n'ai aucun regret.
C'est en janvier, peloton d'exécution des films dont on n'attend rien, que sort Mayday avec Gérard Butler. Mais bon, il mérite d'être gracié.
On s'écharpe encore à décider si Piège de Cristal est un film de Noël ? Revoyez 58 Minutes pour Vivre à la place. Tout y est pour les fêtes.
Running Man a eu le culot d'anticiper 35 ans en avance les ravages de la téléréalité, les États policiers et le deepfake. En plus, c'est fun !
Retour en 1995 avec Piège à Grande Vitesse, soit Die Hard dans un train, le dernier "grand" film de Steven Seagal. Du fun en barre.
Après Hobbs & Shaw, David Leitch récidive avec Bullet Train. Pas moins con, mais ses atouts permettent de passer un bon moment. En voiture !
Retour sur Interceptor, petit film méconnu de 1992. C'est pourtant le tout, tout premier émule de Die Hard dans un avion. Et c'est rigolo.