Critique : Everything Everywhere All At Once « Tout est dans le titre »
C'est rare un film qui tient toutes ses promesses, davantage quand c'est dans le titre. C'est le cas d'Everything Everywhere All At Once.
C'est rare un film qui tient toutes ses promesses, davantage quand c'est dans le titre. C'est le cas d'Everything Everywhere All At Once.
Avec Carter, on aurait pu avoir le meilleur film d'action de l'année, rien que ça ! Sauf qu'il a pris un parti qui fiche tout en l'air.
Après Hobbs & Shaw, David Leitch récidive avec Bullet Train. Pas moins con, mais ses atouts permettent de passer un bon moment. En voiture !
The Gray Man reprend tout, TOUT ce qui fait l'attrait des grands succès d'action récents. Malheureusement, ça lui ôte toute vraie identité.
Retour sur Interceptor, petit film méconnu de 1992. C'est pourtant le tout, tout premier émule de Die Hard dans un avion. Et c'est rigolo.
Netflix sort son nouveau chef d'œuvre, Interceptor, fausse lettre d'amour à Piège de Cristal et vrai ratage. Armez... Cliquez... Oubliez !
Le Secret de la Cité Perdue est "original", car ni suite ni reboot, ni adaptation. Sinon, il n'a pas réinventé la poudre en 40 ans.
Après quinze ans de development hell, voilà enfin Uncharted, le film d'aventures le plus convenu et routinier du monde. Merci Sony.